PRÉSENTATION

cahiers peret11 couvAvec cette onzième livraison les Cahiers Benjamin Péret entendent poursuivre l’orientation définie dès leur origine : publier autant que possible des inédits, des témoignages et des études sur la vie et l’œuvre du poète sans oublier le rôle qui a été le sien dans le mouvement surréaliste.

Un premier dossier revisite le groupe surréaliste au cours de la période 1956-1959 depuis Le surréalisme, même jusqu’à la création de Bief. Dans sa présentation, Jérôme Duwa suit au plus près cette période où s’installent parmi les surréalistes le doute et des tensions. Jean-Claude Silbermann, qui en fut le témoin et l’un des acteurs, nous restitue le climat et l’atmosphère interne au groupe, réveillant ainsi des souvenirs de près de soixante-cinq ans.

Jean-Luc Gillet, médecin spécialiste en médecine vasculaire, retrace les longues et douloureuses années de la maladie de Benjamin Péret qui l’emportera à l’âge de 60 ans. Les lettres de Péret à Meret Oppenheim, qui lui offrit la possibilité de se faire soigner en Suisse, nous renseignent sur cette période difficile et les liens d’amitié qui les unissaient.

Dans le prolongement du dossier « Benjamin Péret et l’art » (Cahiers Benjamin Péret n° 9, septembre 2020), les chercheurs brésiliens Pedro Hussak et Martha d’Angelo nous proposent une analyse comparée des textes de Benjamin Péret et de Mario Pedrosa sur l’artiste « singulière et plurielle » Maria Martins encore méconnue aujourd’hui en Europe. 

Poursuivant notre tour d’horizon des traductions de Benjamin Péret, entamé dans notre précédent numéro, Rachel Stella a recueilli les propos des traducteurs Keith Hollaman et James Brook sur leur expérience de traducteurs sans rien cacher des difficultés rencontrées.

On découvre également le travail original de traduction et d’inventions typographiques de John Crombie lequel relate, dans un riche entretien avec Gérard Durozoi, le patient et inventif travail des éditions Kickshaws qu’il anime avec Sheila Bourne.

Éloi Audoin cherchant à provoquer le hasard, afin de rencontrer l’écrivain Milan Kundera, finit, par des voies détournées, par faire la connaissance de Claude Courtot, lequel aida l’écrivain tchèque à revoir la traduction française de La Plaisanterie.

Pour finir, les Cahiers ont choist de mettre en lumière l’œuvre du peintre et poète Yves Elléouët dont les poèmes ont été récemment réunis sous le titre Dans un pays de lointaine mémoire.

Que soient remerciés pour leur aide et leur précieux concours à ce numéro : Jean-Pierre Castelain, John Crombie, Gérard Durozoi, Aube Elléouët-Breton, Jean-Luc Gillet, Constance Krebs, Ronan Nédélec, Jean-Claude Silbermann, Rachel Stella et Stéphane Vauclin.

 

 CBP 11 sommaire

 

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Bon de commande des Cahiers Benjamin Péret n° 11, septembre  2022

 

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