"...car Leonora Carrington est assurément une sorcière de notre temps.
Le jeu règne sur son univers et lui impose ses servitudes qui tendent à l'accroissement du plaisir et à son incessant renouvellement. Et c'est le jeu – un jeu des plus périlleux – qui lui a permis d'accéder au monde d'En bas où, dit-elle, elle peut pénétrer à sa guise pour en ressortir un temps voulu, son ambition première étant à coup sûr de 'tenter le diable' juqu'à l'affoler. "

Benjamin Péret, "Le jeu de Leonora Carrington", Arts, 10 juillet 1952. Oeuvres complètes, tome 6, p. 332.